D’accord, tout le monde, rassemblez-vous—celle-ci est corsée : on trouve des gens qui confondent saint Augustin avec un inventeur de boules à neige, qui citent Dickens comme s’il était Moïse en gilet, et qui transforment les élucubrations brodées de grand-mère en lois théologiques ; pendant ce temps, la vérité grelotte dehors comme un type qui attend un bus qui n’arrivera jamais, et la tradition se pare de paillettes et de déni, s’accrochant à une « date mystère » comme s’il s’agissait d’une prophétie de bal de promo—alors réveillons-nous, secouons les guirlandes, et cessons de prétendre que la collection de décorations de tante Mildred mérite une chaire.

Alors résumons : on commence par nous dire que la date est inconnaissable—introuvable, invérifiable, définitivement inaccessible. C’est la base, non ? Et puis, avec un sérieux implacable, on nous dit qu’on devrait tout de même s’attacher à la tradition. Pas parce qu’elle est exacte. Pas parce qu’elle est vraie. Mais parce qu’elle est confortable. Ce n’est pas de la logique—c’est de la commodité déguisée en conviction.

Et voici ce que j’ai appris avec le temps : si votre fondation est fausse, tout votre argument s’effondre. On ne conserve pas l’erreur parce qu’elle est familière. On la corrige—car la vérité l’exige. Et quand on commence à défendre ce que l’on sait être faux, simplement parce que c’est plus simple, on ne protège pas la tradition ; on protège l’ignorance. Et je n’ai jamais vu l’ignorance engendrer autre chose que la confusion. C’est ainsi que les ours polaires et les pingouins en viennent à partager un Coca-Cola.

Cette ressource a été élaborée avec révérence et érudition, offrant un aperçu de l’architecture sacrée de l’histoire biblique. Chaque graphique ou texte que vous tenez entre vos mains fait partie d’un appel plus grand—celui d’éclairer le rythme, la séquence et l’intention spirituelle inscrits dans l’Écriture. Que cela éveille en vous compréhension et dévotion. Pour plus de ressources, de questions ou de réflexions, nous vous invitons à nous rendre visite.

C’est avec une gratitude solennelle et une profonde intention que nous présentons cette marque choisie, comme emblème sous lequel toutes nos œuvres et services sont accomplis. Ce n’est pas une affaire insignifiante, ni née de vanité ou de commerce, mais elle procède plutôt d’une conviction sincère : honorer la présence intérieure du SEIGNEUR Dieu d’Israël, dont l’humble descente et le séjour temporaire parmi nous, il y a environ deux mille ans, demeure l’expression la plus profonde de son dessein divin. Cette visite sacrée, bien que temporelle dans sa forme extérieure, n’était qu’une ombre—une préfiguration bénie—de sa nature éternelle et de son désir immuable d’appeler à lui un peuple mis à part. Ainsi, tout ce que nous entreprenons porte l’empreinte de cette espérance et la joie discrète de servir un dessein.

Nous, à Tishrei15, poursuivons selon Luc 2:17 : ‘Ils répandirent la nouvelle de ce qui leur avait été dit au sujet de cet enfant.’

« Le logo indique également le moment. Il présente la soukka dans laquelle Miryam et Yosef ont séjourné. C’était la pleine lune à cette période, et l’étoile a marqué l’endroit. La date de sa naissance figure en dessous.